"Les yeux jaunes des crocodiles" de Katherine Pancol

Je ne savais pas trop par quel livre commencer ma série « critique littéraire ». J’en ai lu tellement depuis le début de cette année…
J’ai finalement choisi « Les Yeux jaunes des crocodiles » de Katherine Pancol, parce qu’il fait partie des dix derniers que j’ai lu, que j’en ai encore un souvenir relativement frais, et parce qu’il m’a beaucoup plu.

Résumé du livre :
Voilà comment l’éditeur Le Livre de Poche résume ce livre :

Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles.
Ce roman parle des hommes.
Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être.
Ce roman est l’histoire d’un mensonge. Mais aussi une histoire d’amours, d’amitiés, de trahisons, d’argent, de rêves.
Ce roman est plein de rires et de larmes.
Ce roman, c’est la vie.


J’aime assez ce genre de résumé, où l’on n’en sait ni trop ni pas assez. Vous dévoiler le mensonge serait vous dévoiler la trame de l’histoire. Certains critiques le font. Je trouve ça dommage étant donné qu’on ne le découvre qu’à la moitié du livre. Je me contenterai donc de vous donner le début de l’histoire :

L’histoire, c’est celle de deux sœurs, l’une est belle, adorée de tous, riche ; l’autre, peu sûre d’elle, est quittée par son mari, et doit faire face à des problèmes financiers. C’est également l’histoire de leur mari respectif, l’un a des doutes sur ses sentiments pour sa femme ;  l’autre la quitte et démarre une nouvelle vie. Et puis c’est l’histoire de la mère des deux sœurs, une femme détestable et détestée, et de son mari, qui en aime une autre.
A tour de rôle, chacun des personnages devient le narrateur du livre, pour dépeindre une saga familiale passionnante. 


Ce que j’en pense :
Il est gros ce livre… près de 700 pages. Et pourtant, il se lit assez vite. Pour être honnête, j’ai eu un peu de mal à rentrer dedans. La mise en place de l’histoire, de celle des personnages est, à mon gout, un peu longue. Mais la suite est prenante.
J’ai beaucoup aimé le fait qu’il y ait différents narrateurs. Les histoires s’entrecoupent, mais sont racontées ou perçues de façons différentes.
Et puis je me suis attachée à l’héroïne, Joséphine, pour qui la vie est une succession de malheurs et de bonheurs, et qui parvient toujours à se relever.


Ma note :
8/10


Le truc en plus :
J’ai appris dernièrement que Katherine Pancol avait écrit une suite à ce livre. Son titre (tout aussi énigmatique que le premier) : « La Valse lente des tortues ».

Comments

[Ta maman]

Ca donne envie de le lire.